Nociné

Dumbo, quand Disney trompe énormément

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Sinopse

Ce live-action a comme un air de déjà-vu. Que le public se rassure, cette reprise n’a rien d’un copié-collé du film d’animation de 1941. Mené par un Tim Burton en petite forme, le pachyderme volant navigue dans un univers qui, aux fans du cinéaste, paraîtra familier. Le réalisateur boucle deux heures d’aventures répétitives dans un chapiteau moins scintillant que celui de « Big Fish », avec des monstres aux couleurs post-Instagram, une fillette à l’insouciance proche d’« Alice au pays des merveilles », et une morale finale proche d’un encéphalogramme plat. « Dumbo » confirme que Tim Burton est passé de l’artisanat à l’industrie du cinéma.Animé par Thomas Rozec avec Daniel Andreyev, David Honnorat et Stéphane Moïssakis.RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒURLA RECO DE DANIEL : pour un film avec des vrais animaux, « L’Ours » de Jean-Jacques AnnaudLA RECO DE DAVID : « Un éléphant ça trompe énormément » du très sous-estimé Yves Robert LA RECO DE STÉPHANE : pour un autre film animalier, « Anaconda »RÉFÉRENCES CITÉES DANS