Littérature

durée : 00:25:05 - La Série fiction - En 2008, 33 ans après sa disparition, on retrouve le corps de Nola Kellergan disparue à l’âge de 15 ans.

durée : 00:20:02 - Lectures du soir - " Sur le plateau, le chaudron des répétitions fonctionne déjà, renforcé pour les danses d’un violon vinaigré. Treize danseuses anglaises se démènent, avec une froide frénésie. Elles dansent, dans cette demi-nuit des répétitions, comme elles danseront le soir de la générale, ni plus mal, ni mieux."

durée : 00:19:53 - Lectures du soir - " Enviez-moi, j’ai de belles récompenses après le maquillage : le soupir d’espoir, l’étonnement, l’arrogance qui point, et ce coup d’œil impatient vers la rue, vers l’« effet que ça fera », vers le risque "

durée : 00:19:46 - Lectures du soir - " Quand Elle agit follement, Elle, ne dis pas, en haussant tes épaules carrées : "Elle est folle ! " Plutôt, cherche la main maladroite, la piqûre insupportable et cachée qui se manifeste en cris, en rires, en course aveugle vers tous les risques "

durée : 00:20:02 - Lectures du soir - " À fréquenter le chat, on ne risque que de s’enrichir. Serait-ce par calcul que depuis un demi-siècle, je recherche sa compagnie ? Je n’eus jamais à le chercher loin : il naît sous mes pas."

durée : 00:20:02 - Lectures du soir - " Cassantes, tenaces, les vrilles d’une vigne amère m’avaient liée, tandis que dans mon printemps je dormais d’un somme heureux et sans défiance. Mais j’ai rompu, d’un sursaut effrayé, tous ces fils tors qui déjà tenaient à ma chair, et j’ai fui…."

durée : 00:24:38 - La Série fiction - Eté 1975. Aurora, petite ville du New Hampshire. Nola Kellergan, 15 ans, disparaît.

durée : 01:55:54 - Fictions / Théâtre et Cie - Le polar rural, qui s'écoute ici en version intégrale.

durée : 00:57:56 - Samedi fiction - Trois passagers sont à bord d’un bateau dont ils ignorent la destination. L’océan est leur seul repère… L’écrivaine Cécile Wajsbrot nous invite à un voyage étrange, où la poésie surgit des éléments de la nature.

durée : 00:19:56 - Lectures du soir - " Leur farouche humeur n’était pas toujours innocente. L’âge qu’on dit ingrat, qui étire douloureusement les corps enfantins, exige des holocaustes. Il fallait à mes frères une victime. "

durée : 00:24:37 - La Série fiction - " Je commençais à me demander si on ne s'était pas trompé depuis le début. Et si c'était Louise le personnage central de toute cette affaire? Il ne me restait plus qu'à poser la question à Hakan que j'avais localisé sur l'île où tout avait commencé... "

durée : 00:19:55 - Lectures du soir - " Ce trouble, cette fuite vaine des prunelles poursuivies par un regard d’homme bleu gris comme le plomb fraîchement coupé, c’est tout ce qui me fut révélé de la passion qui lia, pour leur vie entière, "Sido" et le Capitaine. "

durée : 00:24:16 - La Série fiction - " Les microfilms trouvés sur le cadavre de Louise ont été authentifiés, il s’agit bien d'informations top-secrètes. Il faut reconsidérer toute l’histoire. On peut se demander si Hakan et Louise ne travaillaient pas ensemble, ce ne serait pas la première fois qu’on verrait un couple d’espions…"

durée : 00:20:05 - Lectures du soir - " Le capitaine Colette n’embrassait pas les enfants : sa fille prétend que le baiser les fane. S’il m’embrassait peu, du moins il me jetait en l’air, jusqu’au plafond que je repoussais des deux mains et des genoux, et je criais de joie. "

durée : 00:24:43 - La Série fiction - " Ytterberg m’avait annoncé qu’ils avaient découvert le cadavre de Louise dans une forêt. Ça ressemblait à un suicide, mais il y avait des choses bizarres. A commencer par la présence dans son sac à main d’une poche secrète avec des microfilms en cyrillique. "

durée : 00:19:58 - Lectures du soir - "Sido" et mon enfance, l’une et l’autre, l’une par l’autre furent heureuses au centre de l’imaginaire étoile à huit branches, dont chacune portait le nom d’un des points cardinaux et collatéraux."

durée : 00:24:10 - La Série fiction - " J'étais sûr désormais que Hakan savait des choses qui pouvaient gêner certaines personnes haut-placées. Hakan et Louise avaient-ils alors planifié leur disparition ? J’étais en train d’y songer sérieusement lorsqu’un violent malaise m’envoya à l’hôpital… "

durée : 00:20:01 - Lectures du soir - "Étés réverbérés par le gravier jaune et chaud, étés traversant le jonc tressé de mes grands chapeaux, étés presque sans nuits… Car j’aimais tant l’aube, déjà, que ma mère me l’accordait en récompense. … "

durée : 00:24:45 - La Série fiction - " Hakan savait des choses qui pouvaient en gêner certains. Ma maison avait été fouillée, et je commençais à croire qu’on m’observait, moi aussi… ça ne pouvait signifier qu’une chose : ce qu’avait découvert Hakan était toujours d’actualité. "

durée : 00:42:39 - Fictions / Théâtre et Cie - Memento mori est une sorte de conférence autofictionnelle, où à partir de sa propre expérience de la mort – expérience parfois véridique, parfois fictive –Sergio Blanco va à la découverte de lui-même, avec l’unique finalité de pouvoir formuler quelques idées sur la mort.